(Le billet de Loup Rebel)
Le pouvoir pose un principe d'inégalité entre les Hommes.
Si aucun pouvoir n'est conforme à l’équité, alors, pas plus les aristocrates que le peuple ne peuvent y prétendre.
Riche ou pauvre, personne n'est légitime à détenir le pouvoir.
Si aucun pouvoir n'est conforme à l’équité, alors, pas plus les aristocrates que le peuple ne peuvent y prétendre.
Riche ou pauvre, personne n'est légitime à détenir le pouvoir.
Entendons-nous bien sur ce mot "pouvoir" :
Quant au second, le substantif, il désigne un pouvoir qui se prend, se perd, se reprend, par la force ou la ruse, la tromperie ou la séduction, la trahison ou la corruption. Quand ce pouvoir s'exerce sur toi, il te contraint, te confisque ta liberté, et même ta vie si tu n'y prends pas garde. Un pouvoir de dupe.
À moins que tu t'y soumettes, par gout ou par intérêt ?
Dans ce cas, ta servitude volontaire te conduit tout droit à l'avilissement de ta personne.
En politique, puisqu'on en vient toujours à la politique, aucun pouvoir ne peut se revendiquer d'une quelconque légitimité à s'exercer sur autrui. Ce pouvoir-là, c'est le symptôme de la relation qui lie le psychopathe à ceux qui se soumettent à lui, voire qui l'adulent avec condescendance et génuflexion.
Toujours, le pouvoir est une emprise exercée par un dominateur qui se prétend le maître de son semblable qu'il considère comme son larbin soumis à des obligations d'allégeance envers lui.
Le chien se couche quand son maître le lui demande, le chat, non. D'aucuns diront peut-être que je suis "chat"...? Et toi, es-tu chien ou chat ?
Je suis et resterai un athée du pouvoir et de toute domination arbitraire, héritage toxique légué par les théocraties, avec le droit divin, et les monarchies qui se référaient au même asservissement divin par procuration.
Rien, ni personne, n'aura le pouvoir (encore lui...!) de changer mon positionnement, ni de me contraindre à me soumettre à quoi que ce soit ni qui que ce soit qui revendiqueraient un pouvoir.
La servitude volontaire, ce n'est pas ma tasse de thé. Aucun pouvoir ne saurait être légitime, car le pouvoir est la domination d’un imposteur qui se déclare supérieur à son semblable qu’il subordonne arbitrairement.
Cela dit, je ne fais que donner ici mon point de vue, sachant pertinemment qu'il y aura toujours, quelque part, des soumis face à des psychopathes, convaincus l'un comme l'autre que le pouvoir est un mal nécessaire.
Pour n'appartenir ni aux uns, ni aux autres, efforce-toi de suivre les dix commandements du citoyen libre si tu veux en devenir un...
Lecture : relire (ou lire) "La République" de Platon, ça peut aider à comprendre que le pouvoir rend fous... non seulement ceux qui le détiennent, mais aussi ceux qui veulent le prendre... Et lorsque le pouvoir arrive à l’apogée de sa folie, on peut s'attendre à voir la psychose gagner également les sujets soumis à sa domination...
- Il y a le verbe pouvoir : tu peux, je peux, nous pouvons, ils peuvent, etc. Ce mot flaire bon la liberté et la possibilité d'agir !
- Et puis il y a le substantif, "LE" pouvoir, généralement associé a un verbe possessif (avoir, prendre) : tu as le pouvoir de... ils ont le pouvoir de..., etc. Ou encore : tu as pris le pouvoir sur ton frère... mais... en vertu de quoi te l'es-tu approprié ce pouvoir ? Comme ce mot est abject, oppressif dans ce qu'il sous-tend de domination et de soumission.
Quant au second, le substantif, il désigne un pouvoir qui se prend, se perd, se reprend, par la force ou la ruse, la tromperie ou la séduction, la trahison ou la corruption. Quand ce pouvoir s'exerce sur toi, il te contraint, te confisque ta liberté, et même ta vie si tu n'y prends pas garde. Un pouvoir de dupe.
À moins que tu t'y soumettes, par gout ou par intérêt ?
Dans ce cas, ta servitude volontaire te conduit tout droit à l'avilissement de ta personne.
En politique, puisqu'on en vient toujours à la politique, aucun pouvoir ne peut se revendiquer d'une quelconque légitimité à s'exercer sur autrui. Ce pouvoir-là, c'est le symptôme de la relation qui lie le psychopathe à ceux qui se soumettent à lui, voire qui l'adulent avec condescendance et génuflexion.
Toujours, le pouvoir est une emprise exercée par un dominateur qui se prétend le maître de son semblable qu'il considère comme son larbin soumis à des obligations d'allégeance envers lui.
Le chien se couche quand son maître le lui demande, le chat, non. D'aucuns diront peut-être que je suis "chat"...? Et toi, es-tu chien ou chat ?
Je suis et resterai un athée du pouvoir et de toute domination arbitraire, héritage toxique légué par les théocraties, avec le droit divin, et les monarchies qui se référaient au même asservissement divin par procuration.
Rien, ni personne, n'aura le pouvoir (encore lui...!) de changer mon positionnement, ni de me contraindre à me soumettre à quoi que ce soit ni qui que ce soit qui revendiqueraient un pouvoir.
La servitude volontaire, ce n'est pas ma tasse de thé. Aucun pouvoir ne saurait être légitime, car le pouvoir est la domination d’un imposteur qui se déclare supérieur à son semblable qu’il subordonne arbitrairement.
Cela dit, je ne fais que donner ici mon point de vue, sachant pertinemment qu'il y aura toujours, quelque part, des soumis face à des psychopathes, convaincus l'un comme l'autre que le pouvoir est un mal nécessaire.
Pour n'appartenir ni aux uns, ni aux autres, efforce-toi de suivre les dix commandements du citoyen libre si tu veux en devenir un...
Lecture : relire (ou lire) "La République" de Platon, ça peut aider à comprendre que le pouvoir rend fous... non seulement ceux qui le détiennent, mais aussi ceux qui veulent le prendre... Et lorsque le pouvoir arrive à l’apogée de sa folie, on peut s'attendre à voir la psychose gagner également les sujets soumis à sa domination...
Loup
Loup Rebel |
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