Dans le domaine de la santé comme ailleurs,
la démocratie serait-elle un leurre ?
la démocratie serait-elle un leurre ?
(Le billet de Loup Rebel)
« Le monde scientifique auquel j’appartiens est largement aussi corrompu que le monde politique » Haroun Tazieff
Le plus préoccupant dans nos démocraties actuelles est la référence de plus en plus systématique aux affirmations des experts. La science et ses adeptes semblent représenter aujourd'hui l'unique source de vérité, à laquelle ne pas se soumettre constituerait un délit, un blasphème. Cette nouvelle religion des temps modernes entend éradiquer toutes les autres croyances. Un moyen radical pour assoir un pouvoir indiscutable, comme au bon vieux temps de l’inquisition où tout ce qui n’était pas approuvé par l’Église et ses Évêques était considéré comme hérétique.
Je voudrais rappeler ici une citation de l'un des plus influents physiciens du XXe siècle, R. P. Feynman :
Tant que les médias confondent propagande et information en se faisant le relais aveugle de ces croyances, de ces manipulations aussi, la démocratie restera un leurre. Les experts, idiots utiles des oligarques, continueront de se nourrir de la crédulité des paroissiens de la pseudo-démocratie, dociles et parfaitement soumis aux préceptes de la doctrine « savante ». Ainsi, l'électeur gardera l'illusion que son droit de voter lui donne le statut de citoyen, maître des lois que d'autres décideront pour lui.
Passons à la démocratie participative, diront les défenseurs de cette façon de décider les lois de la république. J'avoue que cette idée m'a longtemps semblé la seule alternative, jusqu'au jour où j'ai poussé ma réflexion un peu plus loin :
Croire que la démocratie participative échappera au leurre désigné dans le titre de ce billet, c'est la même chose que croire qu'il suffit de changer d'habits pour devenir quelqu'un d'autre.
Si, comme l'a très justement dit Alexis de Tocqueville, « Je ne crains pas le suffrage universel, car les gens voteront comme on leur dira », le vote restera irrémédiablement soumis à la propagande, qu'il s'agisse de désigner un élu, ou de voter une loi.
La vraie question à se poser, en permanence, est de savoir l'intérêt de qui sert le discours tenu – ou rapporté – par les médias.
L'exemple le plus frappant est le discours tenu par les experts supposés défendre la santé des consommateurs de médicaments. Je parle des médecins recrutés par les grands laboratoires pharmaceutiques. Ces médecins-là ne peuvent pas faire autre chose que servir l'employeur qui les paie, sous peine de licenciement, nous sommes bien d'accord ? Et quels sont les objectifs du laboratoire, son intérêt, l'intérêt de ses actionnaires et de tous les défenseurs de la croissance, de concert avec les dirigeants politiques qui se prétendent « au service du peuple » ? L'objectif économique impose de fabriquer et vendre le plus de médicaments possible. Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre que cet objectif est non seulement incompatible avec celui de la santé des consommateurs de médicaments, mais la croissance économique du laboratoire est proportionnelle à la croissance des maladies chez les consommateurs. Faut-il vous faire un dessin ?
Comment voulez-vous qu'un tel système, fondé sur la croissance, nous conduise là où les promesses électorales nous annoncent l'avènement du paradis sur terre ?
Les exemples ne manquent pas de maladies créées de toute pièce par le laboratoire qui fabrique le médicament qui va avec. Ainsi, le DSM (manuel Diagnostic et Statistique des troubles Mentaux) qui recense les maladies psychiques a fait passer sa liste des pathologies – et les traitements qui leur sont associés – de 50 à 500 au cours des dernières décennies. Bien évidemment, cette « bible » est écrite par les experts psychiatres recrutés par les laboratoires qui prospèrent en fabriquant les médicaments conçus pour répondre aux besoins des 500 maladies – je devrais dire fausses maladies – nouvellement diagnostiquées. Exactement comme dans n’importe quel autre business de la grande consommation : on crée le besoin et le produit supposé le satisfaire, selon les règles marketing qui assurent les rentes des actionnaires.
La plus grande tromperie du XXe siècle, sans précédent, est le SIDA, « Syndrome d'Immuno-Déficience Acquise ».
Dès le début de l'année 1983, la recherche autour du virus « LAV » (Lymphadenopathy Associated Virus) nouvellement identifié s’intensifie. Commence une grande période de caractérisation du virus et de développement de tests sérologiques, parallèlement à une recherche visant à démontrer le lien entre le virus découvert et le syndrome (SIDA).
Au cours de cette même année, une collaboration entreprise avec le CDC* à Atlanta, permit, par des études sur des sérums provenant de patients Américains et français, de renforcer l’hypothèse du lien entre le virus et le Syndrome (SIDA), en observant une corrélation entre la présence d’anticorps chez les malades et celle du virus.
Les jongleurs de mots ont transformé l'hypothèse en une certitude, faisant d'un « syndrome » une « maladie », alors que, aucune preuve n'a scientifiquement validé l'hypothèse. « Renforcer » ne signifie pas « prouver ». Qu'à cela ne tienne, exit le virus LAV, un nom de baptême a été donné à un pseudo virus accusé d’être à l’origine du SIDA : le VIH, « Virus d'Immunodéficience Humaine », bien que personne, jamais, n’a vu sous le microscope ce virus dans les prélèvements ganglionnaires ou sérologiques effectués sur des malades. Et pourtant, à défaut de photos inexistantes, la communauté scientifique en a publié moult dessins, en couleur s’il vous plait, car c’est plus crédible.
Est-on là dans la science, ou bien dans la science-fiction ?
Un virus fantôme, invisible, diabolisé, représentant ésotérique du mal absolu mandaté pour damner les homosexuels, les drogués, et les époux infidèles. Là où le tour de passe-passe devient la plus incroyable supercherie médicale jamais imaginée, c’est lorsque ce syndrome – le SIDA – se transforme en une « maladie administrative ». C’est-à-dire que le test sérologique qui va vous déclarer porteur du virus s’appuie sur des critères variables d’un pays à un autre. Selon le décret en vigueur dans le pays où vous faites le test de séropositivité, au sens strict, vous êtes « décrété » séropositif. Vous pouvez l’être dans un pays, et pas dans un autre… Par exemple, si un échantillon de votre sang est envoyé dans un laboratoire en Australie, vous ne serez pas séropositif, alors qu’en France vous le serez peut-être. Et si en France votre test vous décrète non-porteur du virus, peut-être que si vous envoyez votre sang en Afrique vous serez séropositif.
Je voudrais rappeler ici une citation de l'un des plus influents physiciens du XXe siècle, R. P. Feynman :
Tant que les médias confondent propagande et information en se faisant le relais aveugle de ces croyances, de ces manipulations aussi, la démocratie restera un leurre. Les experts, idiots utiles des oligarques, continueront de se nourrir de la crédulité des paroissiens de la pseudo-démocratie, dociles et parfaitement soumis aux préceptes de la doctrine « savante ». Ainsi, l'électeur gardera l'illusion que son droit de voter lui donne le statut de citoyen, maître des lois que d'autres décideront pour lui.
Passons à la démocratie participative, diront les défenseurs de cette façon de décider les lois de la république. J'avoue que cette idée m'a longtemps semblé la seule alternative, jusqu'au jour où j'ai poussé ma réflexion un peu plus loin :
Croire que la démocratie participative échappera au leurre désigné dans le titre de ce billet, c'est la même chose que croire qu'il suffit de changer d'habits pour devenir quelqu'un d'autre.
Si, comme l'a très justement dit Alexis de Tocqueville, « Je ne crains pas le suffrage universel, car les gens voteront comme on leur dira », le vote restera irrémédiablement soumis à la propagande, qu'il s'agisse de désigner un élu, ou de voter une loi.
La vraie question à se poser, en permanence, est de savoir l'intérêt de qui sert le discours tenu – ou rapporté – par les médias.
L'exemple le plus frappant est le discours tenu par les experts supposés défendre la santé des consommateurs de médicaments. Je parle des médecins recrutés par les grands laboratoires pharmaceutiques. Ces médecins-là ne peuvent pas faire autre chose que servir l'employeur qui les paie, sous peine de licenciement, nous sommes bien d'accord ? Et quels sont les objectifs du laboratoire, son intérêt, l'intérêt de ses actionnaires et de tous les défenseurs de la croissance, de concert avec les dirigeants politiques qui se prétendent « au service du peuple » ? L'objectif économique impose de fabriquer et vendre le plus de médicaments possible. Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre que cet objectif est non seulement incompatible avec celui de la santé des consommateurs de médicaments, mais la croissance économique du laboratoire est proportionnelle à la croissance des maladies chez les consommateurs. Faut-il vous faire un dessin ?
Comment voulez-vous qu'un tel système, fondé sur la croissance, nous conduise là où les promesses électorales nous annoncent l'avènement du paradis sur terre ?
Tant que la santé publique sera entre les mains de l'industrie pharmaceutique, l'objectif premier restera la rentabilité (le profit).
Or, la croissance économique de cette industrie est incompatible, voire antinomique, avec la décroissance des maladies, puisque ses dernières constituent la source même de la consommation des médicaments produits par les grands groupes pharmaceutiques. N'oublions pas que ce sont eux qui financent la recherche médicale !
Le conflit d'intérêts est si énorme, que personne ne semble disposé à le voir ! Et ce, malgré les scandales à répétitions...
L'intérêt des industriels n'est pas de tarir la source de leurs profits en fabriquant des vaccins éradicateurs des maladies, sans une contrepartie pour garantir leurs profits à venir. Si un vaccin supprime une maladie, il en faut une nouvelle pour fabriquer et vendre de nouveaux médicaments.
Le vaccin participe à l'image salvatrice de l'industrie médicale, pour que les consommateurs fassent confiance les yeux fermés au médecin qui lui prescrit le remède, et au pharmacien qui lui vend... surtout que le consommateur a l'impression que la pilule est gratuite... alors pourquoi s'en priver ! En réalité, la pilule fait les choux gras des laboratoires, sur le dos des consommateurs qui paient les cotisations sociales.
Les exemples ne manquent pas de maladies créées de toute pièce par le laboratoire qui fabrique le médicament qui va avec. Ainsi, le DSM (manuel Diagnostic et Statistique des troubles Mentaux) qui recense les maladies psychiques a fait passer sa liste des pathologies – et les traitements qui leur sont associés – de 50 à 500 au cours des dernières décennies. Bien évidemment, cette « bible » est écrite par les experts psychiatres recrutés par les laboratoires qui prospèrent en fabriquant les médicaments conçus pour répondre aux besoins des 500 maladies – je devrais dire fausses maladies – nouvellement diagnostiquées. Exactement comme dans n’importe quel autre business de la grande consommation : on crée le besoin et le produit supposé le satisfaire, selon les règles marketing qui assurent les rentes des actionnaires.
Le marketing de la folie :
un commerce mensonger, pour inquiéter et vendre des maladies
un commerce mensonger, pour inquiéter et vendre des maladies
Dès le début de l'année 1983, la recherche autour du virus « LAV » (Lymphadenopathy Associated Virus) nouvellement identifié s’intensifie. Commence une grande période de caractérisation du virus et de développement de tests sérologiques, parallèlement à une recherche visant à démontrer le lien entre le virus découvert et le syndrome (SIDA).
Au cours de cette même année, une collaboration entreprise avec le CDC* à Atlanta, permit, par des études sur des sérums provenant de patients Américains et français, de renforcer l’hypothèse du lien entre le virus et le Syndrome (SIDA), en observant une corrélation entre la présence d’anticorps chez les malades et celle du virus.
Les jongleurs de mots ont transformé l'hypothèse en une certitude, faisant d'un « syndrome » une « maladie », alors que, aucune preuve n'a scientifiquement validé l'hypothèse. « Renforcer » ne signifie pas « prouver ». Qu'à cela ne tienne, exit le virus LAV, un nom de baptême a été donné à un pseudo virus accusé d’être à l’origine du SIDA : le VIH, « Virus d'Immunodéficience Humaine », bien que personne, jamais, n’a vu sous le microscope ce virus dans les prélèvements ganglionnaires ou sérologiques effectués sur des malades. Et pourtant, à défaut de photos inexistantes, la communauté scientifique en a publié moult dessins, en couleur s’il vous plait, car c’est plus crédible.
Est-on là dans la science, ou bien dans la science-fiction ?
Un virus fantôme, invisible, diabolisé, représentant ésotérique du mal absolu mandaté pour damner les homosexuels, les drogués, et les époux infidèles. Là où le tour de passe-passe devient la plus incroyable supercherie médicale jamais imaginée, c’est lorsque ce syndrome – le SIDA – se transforme en une « maladie administrative ». C’est-à-dire que le test sérologique qui va vous déclarer porteur du virus s’appuie sur des critères variables d’un pays à un autre. Selon le décret en vigueur dans le pays où vous faites le test de séropositivité, au sens strict, vous êtes « décrété » séropositif. Vous pouvez l’être dans un pays, et pas dans un autre… Par exemple, si un échantillon de votre sang est envoyé dans un laboratoire en Australie, vous ne serez pas séropositif, alors qu’en France vous le serez peut-être. Et si en France votre test vous décrète non-porteur du virus, peut-être que si vous envoyez votre sang en Afrique vous serez séropositif.
Je ne vais pas développer ici les détails qui conduisent à cette disparité « administrative » de la séropositivité, mais si vous souhaitez approfondir vos connaissances, internet foisonne d’informations sur le sujet. Je vous donne quelques liens ci-dessous, mais vous en trouverez mille autres en fouinant sur internet :
Interview du Professeur Montagnier (co-découvreur du VIH)
Photo du pseudo-virus VIH
SIDA : le scandale sanitaire du siècle Interview du Professeur Montagnier (co-découvreur du VIH)
Photo du pseudo-virus VIH
Les 10 plus gros mensonges sur le sida
Le SIDA : la première maladie virtuelle de l'histoire !
Selon toute vraisemblance, les principales causes du SIDA seraient à rechercher en direction des facteurs environnementaux et modes de vie :
• La malnutrition• Les vaccinations multiples
• L’usage de drogues et stupéfiants, ainsi que certains médicaments
• La soumission à des excès de stress permanents
• Etc.
Parmi toutes les nouvelles maladies proclamées par les experts, combien sont-elles inventées dans le but premier d’assurer la croissance des laboratoires qui produisent les pilules magiques ?
Enfin, selon les propres déclarations du professeur Montagnier, considéré comme le
co-découvreur du VIH : « On peut guérir du SIDA avec des mesures simples d’hygiène, de
nutrition, que le plus important ce n’est pas de vendre des produits
pharmaceutiques évolués, mais de prendre des mesures sanitaires simples
qui réduisent le stress immunitaires, l’activité des radicaux libres et
que la nutrition avec des antioxydants est probablement le meilleur
remède face au SIDA » (lire l'article).
* CDC : Centers of Disease Control and Prevention. En français, Centres pour le contrôle et la prévention des maladies.
À lire également : « La nouvelle dictature médico-scientifique », de Sylvie Simon. Son livre est présenté sur le site web consacré à l’auteur : L’atelier de la mémoire de Sylvie Simon
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Loup
Loup Rebel |