Les attentats du 13 novembre 2015 ont éveillé la suspicion de quelques observateurs éclairés et connus pour la pertinence de leurs analyses dans le domaine des stratégies dissimulées de la guerre et du chaos.
Ces stratégies sont mises en œuvre par des services dédiés à cette activité au sein des services secrets de l'OTAN.
(CIA, SIS, MI6, Mossad et DGSE)
GLADIO :
On désigne couramment par ce nom l'ensemble des armées secrètes européennes, dont l'existence a été révélée publiquement le 24 octobre 1990 par le Premier ministre italien Giulio Andreotti1.
L'existence de ces unités clandestines de l'OTAN est restée un secret bien gardé jusqu'en 1990, quand une branche de ce réseau international fut découverte en Italie, portant le nom de code Gladio, signifiant glaive.
Gladio a été mis en place sous l'égide de la CIA et du MI6, comme structure de l'OTAN répondant directement au SHAPE. Cette structure avait disposé des caches d'armes un peu partout où les réseaux pouvaient en avoir besoin.
Ces réseaux fonctionnent le plus souvent sans que les gouvernements nationaux en aient officiellement connaissance. Mais bien sûr, cette ignorance des gouvernements est invérifiable, car tout est dissimulé derrière le secret défense.
L'objectif de cette armée secrète est de commettre des actes terroristes en les faisant passer pour des attentats commis par les ennemis qu'il faut éliminer, ou les gouvernements à renverser.
Ainsi, ces stratégies ont été appliquées pour tenter de renverser Fidel Castro et le régime de Cuba, également en Afghanistan, puis, depuis la chute du régime irakien, avec Daech.
Daech est considéré par les spécialistes bien informés comme la nouvelle armée secrète de l'OTAN.
Stratégie masquée de la guerre, par Daniele GANSER
Production réalisée à l'occasion d'une conférence de l'AZK (Coalition Anti Censure) en Suisse
"Dans la stratégie de guerre masquée, vous devez étudier le mensonge et la violence,
ce qui est une combinaison déplaisante, mais elle existe"
Ouvrage de référence :
« Les Armées Secrètes de l'OTAN : Réseaux Stay Behind, Opération Gladio et Terrorisme en Europe de l'Ouest. »
Auteur : Daniele Ganser (Traduction Thomas Jamet)
Broché : 416 pages
Éditeur : Éditions Demi-Lune (2e Revue et corrigée – 30 août 2011)
Collection : Résistances
Langue : Français
ISBN : 978-2917112007
Ce livre raconte comment, après la Seconde Guerre mondiale, la CIA et le MI6 britannique mirent en place des armées secrètes anticommunistes dans tous les pays d'Europe de l'Ouest, et par quels processus ces réseaux Stay-Behind de l'OTAN s'allièrent dans certains pays à des groupes terroristes d'extrême droite, avec des conséquences particulièrement tragiques.
L'existence de "Gladio", l'armée secrète italienne, fut révélée par le Premier ministre Giulio Andreotti en 1990. À la suite de quoi la presse parla du "secret politico-militaire le mieux gardé... depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale" et nota que : "l'histoire semble tout droit sortie des pages d'un thriller politique".
Depuis, ces armées secrètes de l'OTAN ont également été découvertes en France, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Espagne, au Portugal, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Norvège, en Suède, en Finlande, en Autriche, en Grèce et en Turquie. Au niveau international, leurs actions étaient coordonnées par le Pentagone et l'OTAN, et leur dernière réunion connue se déroula à Bruxelles en octobre 1990.
À l'heure de la menace de l'hyperterrorisme, ce livre de référence revient sur les attentats de la gare de Bologne, de la Piazza Fontana, les attaques des tueurs fous du Brabant, l'enlèvement et l'assassinat d'Aldo Moro et demande, s'il s'agit d'actes de terrorisme sous fausse bannière, fabriqués pour accroître la stratégie de la tension...
À propos de l'auteur :
Historien spécialisé dans l'histoire contemporaine et les relations internationales depuis 1945, Daniele GANSER enseigne à l'université de Bâle. Ses travaux actuels portent sur la prétendue « guerre contre la terreur » et le pic pétrolier. Invité à maintes reprises par le Parlement et la télévision nationale suisses pour partager son expertise en matière de politiques étrangère et de sécurité, Ganser voit ses livres, articles scientifiques, articles de journaux et interviews publiés dans différents pays.
John Prados, membre du National Security Archive, le considère comme un "expert des programmes stay-behind européens".
Henriette Hanke Güttinger pour le journal suisse Horizons et débats, avance que "Ganser présente les faits de manière nuancée et aisément compréhensible pour le profane".
Le Département d'État américain ne remet pas en cause l'existence des réseaux Gladio, citant un ancien directeur de la CIA qui décrit leur mise en place. Ils se défendent bien évidemment de l'accusation des actes terroristes constitués sans l'accord des gouvernements nationaux...
« Cette étude méticuleuse et soignée, incisive, révèle pour la première fois l'ampleur, la noirceur et les implications menaçantes des armées secrètes créées par l'OTAN. La lecture de ce livre important de Ganser s'avère une urgence, particulièrement dans la période que nous traversons ».
(Noam Chomsky)
Autres références :
le scandale des armées secrètes de l'OTAN
L'objectif de ces "armées secrètes" est de commettre des actes terroristes en les faisant passer pour des attentats commis par les "ennemis" qu'il faut éliminer, ou les gouvernements à renverser
(Reportage France 5 du 1° mai 2011 à 21h30, dans "La Case du siècle")
Les élus ne représentent pas les Français,
ils sont les représentant du pouvoir.
La principale préoccupation de l'élu,
c'est sa carrière politique.
Le sort des Françaises et des Français,
il s'en fout éperdument.
Écoutez, braves gens, que je vous conte l'histoire des bonimenteurs comptables qui comptent les Français, en comptant ceux qui comptent, et ceux qui ne comptent pas...!
Cela ne vous aura pas échappé, les résultats des élections sont toujours présentés en pourcentage... (% des Françaises et des Français ?)
La règle, définie par on ne sait plus qui ni on ne sait pas au nom de quoi, étant qu'un candidat, pour être déclaré apte à représenter les 100 % doit se voir "approuvé" par la majorité dite "absolue". Et "ils" ont décidé que cet "absolu" serait 50 % plus une voix. Ne me demandez pas pourquoi, je ne faisais pas partie de ceux qui en ont décidé ainsi.
Où les choses se compliquent, c'est quand il a fallu décider quels seraient les Français "qui comptent", et ceux qui "ne comptent pas".
Comment ça des Français qui ne comptent pas ?
Si si, il en a été décidé ainsi, pour vous motiver insidieusement à vous "soumettre volontairement" à la plus grande tromperie de toute l'histoire de l'humanité.
Et voilà ! Le compte est bon, pour la minorité des Français qui comptent, puisqu'il a été décidé, on ne sait plus par qui ni pour quoi, que pour "compter", un Français doit participer au rituel électoral. Tout Français qui ne participe pas, ou s'avise de déposer dans l'urne sacrée un bulletin "blanc" pour exprimer son désaccord, ne compte pas. Il est donc interdit de ne pas être d'accord, sous peine de "destitution citoyenne"... Hum ! Ne sentez-vous pas l'odeur nauséabonde de la dictature qui s'échappe des urnes, symbole sacré de la soi-disant démocratie ?
Ainsi, aujourd'hui la France ne compte pas 66 millions de Françaises et de Français tels qu'ils ont été recensés (source). Non, la France ne compte aujourd'hui, au lendemain d'une élection, plus que 21,7 millions de Français (source) "qui comptent", les autres "ne comptent pas".
Et parmi ces 21,7 millions, aux dires de quelques-uns, il faudrait en décompter 6 millions... qui ne devraient pas compter, ou qu'il faudrait éradiquer, au motif qu'ils ne votent pas "comme il faudrait"...
Si mon compte est bon, il ne reste donc plus que 15 millions de Françaises et Français qui comptent.
Revenons aux pourcentages, si chers aux raconteurs comptables qui comptent les Français qui comptent et ceux qui ne comptent pas, pour déclarer que la France qui compte 66 millions de compatriotes n'en compte qu'un peu plus de 22 % qui comptent... les 77 % restant ne comptent pas.
Les faussaires de la démocratie, les imposteurs, sont celles et ceux qui participent — en connaissance de cause — à cette pitoyable bouffonnerie.
Parmi ceux-là, pour faire les comptes jusqu'au bout, on compte 620.000 élus, dont 900 parlementaires (sénat+députés). Et le bidonnage continue de plus belle, car là, les faussaires susnommés nous disent tout de go qu'en France, chaque parlementaire représenterait 70.000 Français (source)... Ah bon ? Voilà que ceux qui ne comptaient pas pour l'élection comptent dans ce décompte de dupes... pour duper encore une fois les Français.
Un simple calcul arithmétique démontre qu'en réalité, puisque les 900 parlementaires ont été désignés par 10,8 millions de Français (50 % des suffrages exprimés), on est loin du compte, et même très loin. On compte alors un parlementaire pour 12.000 Français... et non pas pour 70.000 !
Les élus ne représentent pas les Français,
ils sont les représentants du pouvoir.
La principale préoccupation de l'élu, c'est sa carrière politique.
Le sort des Françaises et des Français,
il s'en fout éperdument.
Le plus attristant, n'est-ce pas cette minorité de Françaises et Français qui continuent de se faire bananer, faute d'avoir pris conscience de cette pitoyable tromperie ?
En finir avec l'élection des escrocs
L'élection n'est pas le signe de la démocratie.
Rien n’empêche un dictateur de se faire élire, sur des promesses électorales trompeuses !
Fascination, fascisme,
sont deux mots qui vont
trop bien ensembles.
(sur l'air des Beatles)
Poutine semble fasciner les foules qui voient en lui le "justicier" clairvoyant qui va remettre le monde à l'endroit. Mais attention, car la fascination du héros est la clef qui lui permet d'ouvrir la porte du fascisme... avant qu'il ne se transforme en tyran.
Ne vous y méprenez pas, et avant de manifester trop d'admiration pour ce fin stratège, membre du KGB, prenez le temps de découvrir qui est le personnage. ►Page Wikipédia de Vladimir Poutine◄
Souvenez-vous aussi de qui Hitler était la marionnette. L'histoire officielle nous présente ce monstre comme étant le grand instigateur de la Deuxième Guerre mondiale, mais les historiens avisés savent bien que ce barbare était sous l'emprise des puissances industrielles et financières qui dominaient le monde... et la grande crise économique des années 1920/1930.
Le discours de Poutine séduit les foules par sa grande clairvoyance, c'est indéniable. Poutine réussit mieux que d'autres aujourd'hui dans l'art de la propagande : fonder un discours sur les aspirations des peuples, pour assoir son pouvoir avec l'approbation populaire.
Après Robin des bois, Zoro, Superman, et quelques autres, l'habile Poutine prend l'habit du sauveur... Mais ce n'est peut-être qu'un déguisement ?
Gare à ceux qui s'abandonneraient aveuglément à la fascination du personnage, car le terreau du fascisme, c'est précisément la fascination.
Où sont les intérêts de Poutine ?
Qui peut le dire ?
Veut-il rivaliser avec l'ordre mondial made in USA ?
Et surtout, sous l'emprise de qui agit-il ?
La bonne vieille division entre l'Est et l'Ouest reprend du service. Combat entre les deux nations les plus hégémoniques de la planète pour occuper la place du gouverneur suprême dans le nouvel ordre mondial...
Mais derrière les chefs d'État que nous voyons s'agiter dans cette "guerre" comme de stupides marionnettes, qui sont les véritables commanditaires qui tirent les ficelles ?
Ce sont les mêmes artisans du chaos que ceux des années 1920/1930 avec Hitler : des marionnettistes sans scrupules qui manipulent leurs guignols. Entendre par "guignols" les chefs d’États et de gouvernements, à l'Est comme à l'Ouest. Ces marionnettistes organisent les duels entre leurs guignols pour donner au vainqueur l'illusion qu'il gouvernera le monde. Mais l'ordre mondial, c'est en réalité cette poignée de psychopathes composées des barons de la finance, aidés par leurs fournisseurs de guerres : les marchands d'armes.
Ni Russes, ni Étasuniens, ni Européen, ces marionnettistes se considèrent de race supérieure, et ils entendent bien rester les maîtres du monde. Cette puissance occulte est composée des plus riches oligarques internationaux. Ils appartiennent tous à l’intelligentsia financière, et comptent parmi les plus redoutables psychopathes, prêts aux pires génocides pour garder le contrôle absolu de l'humanité qui ne représente pour eux qu'un gisement de ressources humaines. Nous sommes leurs troupeaux qu'ils confient à leurs fidèles bergers : les chefs d'État et les gouvernements, de l'Est comme de l'Ouest, tous les scénarios que nous montrent les médias n'étant que des mises en scène qu'ils orchestrent dans l'ombre.
Les Shadoks et les Gibis sont de retour...!
Les Shadoks et les Gibis arrivent sur la terre
1ère diffusion le 29/04/1968, une série de Jacques Rouxel, réalisation René Borg, commentaire dit par Claude Piéplu, musique Robert Cohen Solal, voix des Shadoks Jean Cohen Solal.
Les Shadoks sont dominés par les Gibis
Les Gibis finissent par avoir raison des Shadoks descendus sur terre grâce à leurs boîtes cosmiques qui les transforment en n'importe quoi.
La vague migratoire qui submerge la France
et l'Europe n'est que le retour du boomerang
lancé par les (ir)responsables politiques
qui exercent un pouvoir perfide depuis 1945.
Et ce n'est là que le symptôme alarmant
d'une imminente troisième guerre mondiale.
La France compterait encore 20 % de Français fidèles à François Hollande. Une poignée de collabos complices de ses promesses mensongères, de ses trahisons, et de ses crimes de guerre.
Quand le Président Hollande signe un contrat de plusieurs milliards d’euros avec le Qatar pour la vente de 24 avions de combat Rafale, ses groupies applaudissent niaisement.
Pourtant, il y a cent fois plus à s'en inquiéter qu'à s'en réjouir. Car dans le rôle de la triste crapule, Hollande sait pertinemment que ces avions sont utilisés pour servir son maître, sis à Washington, et faire davantage de ravages dans la région, plus de mort, de désastre, de misère et d’asservissement, davantage de réfugiés dans la mer Méditerranée, encore plus de chaos perpétuel, des gens aux limites de la survie, des gens qui ne peuvent plus se battre pour leur pays, pour leurs ressources, pour leur liberté, parce qu’il faut qu’ils se battent rien que pour pouvoir survivre, pour la survie de leurs enfants et de leurs familles.
L’Empire du chaos, c’est ça :
Un psychopathe qui vend des armes, des avions de combat et d’autres sortes de machines à tuer, en sachant très bien que ces armes servent à tuer des gens, à détruire des pays, est un criminel de guerre de la pire espèce. Même s'il n'est qu'un laquais au service de ses maîtres.
En plus d’être un criminel de guerre, Hollande est un bigot bas du front qui s’imagine qu’à la fin des comptes, quelques miettes du Grand Butin vont retomber dans son assiette. Pense-t-il devoir préserver l’économie de son pays ? Croit-il honorer la France qui a produit des hommes comme Victor Hugo, Stendhal, Balzac, Dumas, en vendant des machines à tuer à d’autres sbires de l’empire ?
Le président Hollande feint d’ignorer que 85 % de son électorat le méprise.
Répandre le désordre, le chaos et la misère, c’est ce que Washington et ses vassaux font le mieux. Ils ne désirent pas « gagner » les guerres ; ils veulent un chaos sans fin et la misère ; des gens pouvant facilement être soumis, la “domination à large spectre” comme ils disent (full spectrum dominance, dans la langue de Shakespeare)
Et c’est la même chose en Ukraine... Là, pas plus d’ISIS ou d’EIIL que de Daesh ou d’al-Qaeda ne se trouve en Ukraine. Là encore, l'Empire du chaos s'est invité, avec ses charognards.
Sous le commandement de la CIA avec quelques 6 000 soldats US (des instructeurs, bien entendu) entraînent les troupes de Kiev à mieux et plus rapidement tuer leurs frères dans le Donbass ; ils les entraînent à susciter un chaos qui perdure. Et si les soldats refusent d’être entraînés à tuer leurs frères, le régime nazi de Kiev les abattra en tant que traîtres. À bout portant. C’est si facile. Comme ça personne ne résistera plus.
En outre, les « conseillers » militaires US et la CIA, avec le concours de leurs tueurs à gages (ISIS/Daesh /al-Qaeda) cherchent à provoquer le Président Poutine à entrer en guerre. Une Troisième Guerre mondiale. Oui, la troisième en moins d’un siècle, pouvant potentiellement dévaster l’Europe et peut-être le monde. Jusqu’ici, si le monde a été préservé de ce désastre, c’est surtout grâce à la sagesse de la stratégie mise en œuvre par M. Poutine. Une stratégie de non-affrontement.
Prosélytisme religieux,
prosélytisme laïc,
zéro différence, c'est toujours
du prosélytisme politique.
Commençons par consulter la définition des trois mots clefs invoqués ici, et voyons comment ils sont liés entre eux :
• les crapules (qui gouvernent la France),
• la propagande,
• le prosélytisme.
Prosélytisme : zèle ardent déployé pour recruter des adeptes.
Depuis la publication de la photo d'un enfant noyé sur une plage, l'actualité nous invite à revisiter l'histoire de notre chère France. On serait tenté de se rendre à Poitiers, d'y convoquer Charles Martel, et qu'il nous raconte comment il a créé la légende de la bataille qui fit de lui un héros en ce premier samedi du mois de ramadan de l'an 114 de l’Hégire, soit le samedi 25 octobre 732.
Ceux qui sont tentés par ce voyage dans le passé, c'est par ici : ►La bataille de Poitiers
Pas de doute, la propagande politicienne existait déjà sous Charles Martel. Elle remonte à la nuit des temps, dès le jour où un homme a décidé de dominer les autres.
Si Voltaire raille les exagérations autour des récits "propagandistes" de la bataille de Poitiers dans son "Essai sur les mœurs" lorsqu'il écrit « Sans Charles Martel, la France eut été une province mahométane », c'est pour le regretter « au regard des siècles d'obscurantisme chrétien », selon lui.
Au XIXe siècle, le patriotisme français voit dans la bataille de Poitiers un événement fondateur de la Nation, et les anticléricaux préfèrent Charles Martel à Clovis, trop associé à l’Église. La conquête des colonies en Terres musulmanes popularise également la victoire contre des musulmans.
À la fin du XIXe siècle, la bataille de Poitiers est également célébrée comme la capacité de la France à bouter du pays tout envahisseur hors de ses frontières, à l'heure où l'occupation de l'Alsace-Lorraine suscitait une vive rancœur, l'ennemi n'étant plus ici arabe, mais allemand. Outre-Rhin et en Angleterre, à l’heure des théories raciales, cette victoire d’Européens sur des Africains est aussi revendiquée par les Anglais et les Allemands, ces derniers rappelant que les Francs étaient un peuple germanique. À partir de ce siècle, l'année 732 est présentée comme moment de la construction nationale et l'école de la IIIe République exalte l'épisode tout en évacuant l'aspect chrétien et européen des discours antérieurs.
Il y a aussi la "contre-propagande", le prosélytisme négationniste :
Selon Nas E. Boutammina, "La bataille de Poitiers n'a jamais eu lieu". Il en a fait le titre d'un de ses livres. Un négationnisme qui en rappelle d'autres, plus récents...
Voici ce qu'il écrit :
« Charles Martel et Poitiers connaissent un regain de popularité avec les croisades, les thèmes de la défense de la chrétienté, de la défense de la foi, de victoire sur l’infidèle ayant alors plus d'échos. La victoire de Charles Martel à Poitiers sera rappelée et mythifiée par les chroniqueurs du XIVe siècle après la défaite de Jean II le Bon en 1356... à Poitiers aussi ! Et au XVIe siècle, au moment où l’Empire ottoman menace l’Empire de Charles Quint. On peut aussi évoquer l’épée de Charles Martel, miraculeusement retrouvée par Jeanne d’Arc à Sainte-Catherine-de-Fierbois. »
C'est ainsi que la légende de Charles Martel à Poitiers s'est transformée en symbole, selon les besoins et la cause du moment.
Aujourd'hui comme hier, le rôle des médias est de transformer le réel en symbole, religieux ou laïc, pour servir le pouvoir et justifier les guerres de pillage et de conquêtes.
Le prosélytisme n'est finalement pas autre chose que l'instrument de la propagande pour faire accepter au peuple les actes criminels commandités par le pouvoir en place, qu'il soit religieux ou laïc, la laïcité étant aussi une religion, fondée sur les croyances laïques.
(Le néo-socialisme libéral, alias fléau-socialisme)
Revenu de Base
Revenu Universel
Revenu Inconditionnel
Revenu de Subsistance
... et quelques autres...
Depuis la crise de 2008, les ardents défenseurs de ces revenus "universalistes" font le buzz sur les réseaux sociaux. Les arguments avancés sont d'ordre humanitaire : lutter contre les inégalités et venir au secours des plus démunis. Ce n'est là qu'un aspect des choses, louable en soi, mais c'est peut-être l'arbre qui cache la forêt... dans laquelle se cachent des suppôts de Satan qui cherchent à sauver leur capital. Je parle là des actionnaires qui vivent des rentes de leur colossale et indécente fortune.
À droite, les médias en font également l'éloge à l'occasion, par exemple dans le Figaro du 26 mai 2014 : ►Pour un revenu minimum universel◄
À contrario, la théorie du Revenu de Base est vivement critiquée à gauche, du moins la "vraie" gauche, qui exclut de ses rangs les néo-socialistes devenus avec Hollande et son gouvernement la doctrine politique la plus libérale qu'on ait jamais vue en France (et en Europe).
Celles et ceux qui ont lu Bernard Friot ou écouté ses interventions télévisées se souviennent sans doute de cette phrase :
« Le Revenu de Base est la roue de secoure du capitalisme »
La première chose à savoir, c'est que les partisans du Revenu de Base, consciemment ou non, se font les défenseurs de l'économie de marché(1), régit en Europe et aux États-Unis sur les seules règles du capitalisme libéral, voire aujourd'hui ultralibéral, sous l'emprise des lois dictées par les banques et les grandes puissances financières.
Voyons pourquoi certains économistes parmi les plus éclairés considèrent – comme Bernard Friot – que le Revenu de Base est "la roue de secoure du capitalisme", ultime recours qui peut le sauver de son effondrement :
Le tout premier initiateur de cette idée est Milton Friedman(2). Ardent défenseur du libéralisme, Friedman est titulaire du prix Nobel d'économie en 1976 pour ses travaux sur l'analyse de la consommation et l'histoire monétaire. Il a démontré que la théorie du "Revenu Permanent" (ou revenu universel) était indissociable de l'économie de marché, pour assurer son développement et son maintien.
Ce qui est bien sûr une évidence, à l'heure où les machines et les robots sont en passe de remplacer l'homme dans son travail : distribuer un "Revenu Universel" revient à distribuer du pouvoir d'achat, et donc de soutenir la demande pour répondre à l'offre et alimenter ainsi la production, même lorsque celle-ci sera assurée par les machines et les robots qui vont remplacer à plus ou moins brève échéance le travail des humains... qui seront ainsi privés de salaire et de pouvoir d'achat.
Et en 2015, on y est déjà ! La montée du chaumage en témoigne, quoi qu’en disent les dirigeants politiques. La crise dite "économique" est en réalité une crise financière, car les actionnaires mercantiles et rapaces n'ont pas compris que le système s'autodétruit par la baisse du pouvoir d'achat... Ils n'ont pas appris la leçon de Milton Friedman, aveuglés par leur cupidité.
Maintenant, vous pouvez continuer de soutenir les campagnes en faveur du Revenu de Base, mais vous savez que cela vous range dans le camp des défenseurs de la cause capitaliste. Cela dénonce votre adhésion au système qui prône la croissance, croissance qui repose sur une économie de marché, laquelle implique la course folle de la production des biens consommables avec son corollaire : toujours plus de consommation...
Ou bien, vous pouvez aussi prendre le temps d'examiner d'autres solutions pour pallier les inégalités entre les privilégiés qui ont un emploi et les autres, sans emploi. Vous trouverez une piste particulièrement inintéressante du côté du ►réseau salariat◄
Abolition du droit de propriété lucrative
Poursuivre la lutte des salaires et des cotisations sociales contre les profits indécents,
pour faire aboutir la "cotisation sociale unique" et se libérer du chantage à l'emploi.
(1) D'un point de vue strictement scientifique, le terme "économie de marché" ne renvoie à rien de précis.
En apprendre plus sur ►Wikipédia◄
« Tu votes ou tu votes pas,
c'est kikif, t'es niqué pareil ! »
Quoique... s'abstenir de voter, c'est marquer son refus de cautionner un système qui permet aux pires escrocs de diriger un pays (la France en l'occurrence).
Même Michel Onfray ne vote plus !
Michel Onfray s'est déclaré ouvertement :
contre les élections,
pour la démocratie,
pour une nouvelle constitution.
la Ve République est le contraire de la démocratie
« La constitution de la Ve République donne aux élus
tous les apanages d'une dictature totalitaire »
Le gouvernement représentatif tel qu'il est défini dans la constitution de la Ve République est exactement le contraire de la démocratie, car il confisque au peuple tout pouvoir, et donne aux élus tous les apanages d'une dictature totalitaire.
Vous avez demandé le droit de vote ?
Vous vous êtes battus pour l'obtenir ?
Eh bien ! on vous a donné royalement le droit d'élire ceux qui vous confisquent le droit de vote (cf. référendum de 2005, et le dernier en date pour la Grèce en 2015).
Dans la situation actuelle, toute participation à une élection rend l' électeur complice d’une organisation criminelle.
En réalité, la démocratie est bannie en Europe, et personne (ou presque) ne semble le voir, puisque tout le monde continue à se croire en démocratie.
Jean-Claude Juncker l'avait réaffirmé fin janvier 2015, juste après les élections du nouveau gouvernement Grec, en déclarant publiquement :
« il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens »
Ordre et désordre...
Crise d'autorité ?
Ou bien lacune éducative ?
Toute organisation sociale suppose un ordre, puisqu'il n'y a pas de vie sociale sans règles. Cet ordre se révèle au premier regard par un agencement de tabous, de croyances, et de valeurs éthiques ou esthétiques auxquelles les membres du groupe sont tenus d'adhérer.
Tout manquement aux règles qui structurent ainsi l'édifice social constitue un désordre.
Le désordre apparaît dès lors comme pouvant avoir deux causes possibles :
• une méconnaissance de la règle
• un refus de la règle
L'origine du désordre renvoie toujours à un échec de l'éducation.
L'éducation est donc supposée apprendre les règles de façon à ce qu'elles soient acquises à l'âge adulte (c'est ce que la psychanalyse appelle "la construction du surmoi"). Durant la phase éducative, la croyance générale affirme que l'autorité joue un rôle important. Cependant, de nombreuses études expérimentales avec des groupes d'enfants ont démontré qu'un système éducatif fondé sur l'autorité n'apporte qu'une efficacité de 30 % d'adhésion aux règles imposées, alors qu'un système basé sur la valorisation du sens de l'engagement et de la responsabilité, sans autorité, produit une efficacité quasi totale : 70 % à 100 % des enfants adhèrent aux règles qui sont proposées, et non pas imposées.
Le sens commun porte à croire que c'est l'autorité qui assure l'ordre, et que sans une autorité établie, c'est le désordre assuré. Pourtant, la réalité nous démontre constamment le contraire.
En effet, qu'en est-il de l’homme qui dit « Je veux changer, dites-moi comment m’y prendre » ? Il peut paraître très profondément sincère et sérieux, mais en réalité il ne l’est pas. Sa demande trahit une lacune éducative qui ne lui a pas permis d'accéder à sa pleine maturité. Il est juste à la recherche d’une autorité, dans l’espoir qu’elle mettrait de l’ordre dans sa vie.
Mais son désordre intérieur saurait-il être éradiqué par une autorité ? Certainement pas, bien au contraire. Un ordre imposé du dehors provoque presque toujours un désordre.
Tout cela peut être vu intellectuellement. Mais pouvez-vous le vivre en vérité, de telle sorte que votre esprit cesse de projeter toute autorité, celle d’un livre, d’un maître, d’un conjoint, d’un parent, d’un ami, de la société ? Parce que nous avons toujours fonctionné dans le cadre de formules, celles-ci sont devenues notre idéal et notre autorité. Mais aussitôt que nous avons compris que la question « comment puis-je changer ? » engendre une nouvelle autorité, nous en avons fini avec l’autorité, une fois pour toutes.
• As-tu déjà entendu parler du groupe Bilderberg ?
• Découvres-tu ce nom ici pour la première fois ?
• Dans tous les cas, tu seras surpris en lisant ça.
Depuis les années 1950, une centaine de milliardaires se sont regroupés dans une organisation secrète dans le but de diriger le monde. Se situant entre la secte et la maffia, ce cartel est à considérer comme la plus puissante alliance criminelle sur notre planète. Un certain nombre de dirigeants Français (dont Manuel Valls) y participent, ou y ont participé, comme indiqué dans la liste (non exhaustive) présentée plus bas.
Bien que ses premières origines remontent aux années 1910, l’ordre mondial réalise sa véritable expansion depuis 1954, avec le groupe Bilderberg, sous l’égide de David Rockefeller, son fondateur.
En mai 1954, une soixantaine d’hommes influents provenant du domaine de la politique, de la finance mondiale et de l’élite aristocratique européenne s’est réunie à l’Hôtel Bilderberg, à Oosterbeek en Hollande.
Cette première rencontre suscita un tel enthousiasme des participants qu’ils décidèrent de tenir une conférence similaire chaque année. Dès lors, le groupe se nomme Bilderberg en l’honneur de son premier lieu de rencontre.
La vidéo ci-dessous apporte des explications simples sur le concept du groupe Bilderberg. Au cours de ses réunions, des décisions stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions démocratiques au sein desquelles ces débats devraient normalement avoir lieu, et à l’abri des regards, violant ainsi l’éthique journalistique. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des institutions subalternes comme le G8, les gouvernements des États, mais aussi les directions des marchés, l’évolution des conflits et des guerres... etc.
Outre les membres permanents de cette organisation maffieuse, les participants à ces réunions sont des personnalités “triées sur le volet”, cent à deux cents invités choisis pour leur pouvoir d’influences sur les grandes décisions politiques : Parlementaires, Ministres, patrons de banques, milliardaires et responsables occidentaux... l’objectif étant de déterminer l’avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages des organismes supranationaux.
Le concept du groupe Bilderberg
Tout se passe hors des institutions démocratiques : Décisions prises par les gouvernements des États, mais aussi les directions des marchés, l’évolution des conflits et des guerres...
Les réunions sont “secrètes” et interdites aux journalistes. Chaque participant prend l’engagement solennel de ne pas divulguer ni évoquer dans la presse l’existence même de ces réunions, au non du principe : “les grandes choses se font avec discrétion”... Ce qui rappelle l’aphorisme de Coluche : “On ne peut pas dire la vérité à la télé, il y a trop de monde qui regarde”.
En réalité, seules les “choses criminelles” ont besoin de se faire avec discrétion. Tenir les populations à l’écart des décisions politiques est un déni de démocratie qui perpétue l’aversion des maîtres du monde pour la démocratie, et la haine qu’ils éprouvent contre le peuple.
Diagramme de l’organisation mondiale autour du Bilderberg-Groupe (passer la souris sur l’image pour l’agrandir)
De nombreux dirigeants français ont participé ces dernières années aux journées Bilderberg (la liste ci-après n’est pas exhaustive) :
• Manuel Valls, membre du Parlement, Premier ministre
• Jean-Pierre Jouyet, ministre des Affaires européennes
• François Fillon, Premier ministre
• Valérie Pécresse, Membre du Parlement (UMP)
• Christophe Margerie, PDG de Total
• Jean-Dominique Senard, PDG du Groupe Michelin
• Paul Hermelin, Président et PDG du Groupe Capgemini
• Olivier de Bavinchove, Commandant du Corps européen (Eurocorps)
• Nicolas Baverez, Avocat à la Cour d’appel de Paris et associé du Cabinet Gibson, Dunn & Crutcher LLP (également Conseiller Référendaire à la Cour des Comptes)
• Henri de Castries, président du conseil d’administration et chef de la direction, AXA
• Thierry de Montbrial, président de l’Institut français des relations internationales
• François Pérol, secrétaire général adjoint en charge des affaires économiques
• Bertrand Collomb, Président honoraire, Lafarge
• Hélène Rey, Professeur d’économie à la London Business School
• Christine Ockrent, directrice générale service mondial de télévision française
• Bassma Kodmani, membre du bureau exécutif et chef des affaires étrangères pour le Conseil National Syrien
La liste complète des invités qui ont participé aux journées Bilderberg en 2013 est disponible en suivant ce ►lien
(Voir ci-dessous la liste complète des invités qui ont participé aux journées Bilderberg 2008)
Liste des invités ayant participé en 2008 :
(Traduit avec Google-traduction)
DEU = Ackermann Josef, Président du Directoire et du Comité Exécutif du Groupe, Deutsche Bank AG
CAN = Adams John, Sous-ministre associé de la Défense nationale et le Chef de la sécurité des télécommunications Canada
USA = Ajami Fouad, Directeur Programme Moyen-Orient Études, École Paul H. Nitze des études internationales avancées de l’Université Johns Hopkins
USA = Alexander Keith B., Directeur National Security Agency
INT = Almunia Joaquín, Commissaire Commission européenne
GRC = Alogoskoufis George, Ministre de l’Economie et des Finances
USA = Altman Roger C., président, Evercore Partners Inc.
TUR = Babacan Ali, ministre des Affaires étrangères
NLD = Balkenende Jan Peter, Premier ministre
PRT = Balsemão Francisco Pinto, Président et chef de la direction, IMPRESA, SGPS ; L’ancien Premier ministre FRA = Nicolas Baverez, Partner, Gibson, Dunn & Crutcher LLP
ITA = Bernabè Franco, PDG Telecom Italia Spa
USA = Bernanke Ben S., président, Conseil des gouverneurs, Système fédéral de réserve
SWE = Bildt Carl, ministre des Affaires étrangères
FIN = Blåfield Antti, principal éditorialiste, Helsingin Sanomat
DNK = Bosse Stine, PDG, TrygVesta
CAN = Brodie Ian, chef d’état-major, le Cabinet du premier ministre
AUT = Bronner Oscar, éditeur et rédacteur, Der Standard FRA = Henri de Castries, président du conseil d’administration et chef de la direction, AXA
ESP = Juan Luis Cebrian, PDG, PRISA
CAN = Clark, président et chef de la direction Edmund, Groupe Financier Banque TD
GBR = Clarke Kenneth, membre du Parlement
NOR = Clemet Kristin, Directeur Général, Civita
USA = Collins Timothy C., Directeur général principal et chef de la direction, Ripplewood Holdings, LLC FRA = Bertrand Collomb, Président honoraire, Lafarge
PRT = Costa António, Maire de Lisbonne
USA = Crocker James R., Chester A. professeur Schlesinger des études stratégiques
USA = Daschle Thomas A., ancien sénateur américain et la majorité au Sénat
CAN = Desmarais Jean-Paul, Président et co-chef de la direction, Power Corporation du Canada
GRC = Diamantopoulou Anna, membres du Parlement
USA = Donilon Thomas E,. Partner, O'Melveny & Myers
ITA = DraghiMario, gouverneur Banca d’Italia
AUT = Ederer Brigitte, chef de la direction Siemens AG Österreich
CAN = Edwards N. Murray, Vice-président, Candian Natural Resources Limited
DNK = Eldrup Anders, président DONG A/S
ITA = Elkann John, vice-président Fiat SpA
USA = Farah Martha J., Directeur, Center for Cognitive Neuroscience ; Walter H. Annenberg professeur en sciences naturelles de l’Université de Pennsylvanie
USA = Feldstein Martin S., président et chef de la direction, Bureau national de recherche économique
DEU = Fischer Joschka, ancien ministre des Affaires étrangères
USA = Ford Harold E. Jr., vice-président, Merill Lynch & Co., Inc.
CHE = Forstmoser Peter, Professeur de civil, et Corporation Capital Markets Law, Université de Zürich
IRL = Gallagher Paul, Procureur général
USA = Geithner Timothy F., président et chef de la direction, Banque fédérale de réserve de New York
USA = Gigot Paul, éditorialiste en chef, The Wall Street Journal
IRL = Gleeson Dermot, président, AIB Group
NLD = Goddijn Harold, PDG TomTom
TUR = GoGuS Zeynep, journaliste; Fondateur, EurActiv.com.tr
USA = Graham Donald E., Président et chef de la direction, The Washington Post Company
NLD = Halberstadt Victor, Professeur d’économie, Université de Leiden ; L’ancien Secrétaire général honoraire de Bilderberg Réunions
USA = Holbrooke Richard C., Vice-président, Perseus, LLC
FIN = Honkapohja Seppo, membres du Conseil, de la Banque de Finlande
INT = Hoop Scheffer Jaap G., de secrétaire général, de l’OTAN
USA = Hubbard Allan B., président, E & A Industries, Inc.
BEL = Huyghebaert Jan, Président du Conseil d’administration, Groupe KBC
DEU = Ischinger Wolfgang, ancien ambassadeur au Royaume-Uni et des États-Unis
USA = Jacobs Kenneth, Vice-président, chef de Lazard US, Lazard Frères & Co. LLC
USA = Johnson James A., Vice-président, Perseus, LLC (l’homme d’Obama chargée de sélectionner son colistier)
SWE = Johnstone Tom, président et directeur général, AB SKF
USA = Jordan Vernon E. Jr., Directeur général principal, Lazard Frères & Co. LLC FRA = Jean-Pierre Jouyet, ministre des Affaires européennes
GBR = Kerr John, Membre de la Chambre des Lords ; Vice-président, Royal Dutch Shell plc.
USA = Kissinger Henry A., Président, Kissinger Associates, Inc.
DEU = Eckart von Klaeden, porte-parole de la politique étrangère CDU /CSU
USA = Kleinfeld Alcoa, président Klaus et COO
TUR = Koç Mustafa, président, Koç A.S. FRA = Kodmani Bassma, Directeur Arab Reform Initiative
USA = Kravis Henry R., Associé fondateur, Kohlberg Kravis Roberts & Co.
USA = Kravis Marie-Josée, Senior Fellow, Hudson Institute, Inc.
INT = Kroes Neelie, la commissaire Commission européenne
POL = Kwasniewski Aleksander, ancien président
AUT = Leitner Andritz, CEO Wolfgang,
ESP = León Gross Bernardino, Secrétaire général Cabinet du Premier ministre
INT = Mandelson Peter, commissaire, Commission européenne FRA = Christophe Margerie, PDG de Total
CAN = Martin Roger Dean, Joseph L. Rotman School of Management, Université de Toronto
HUN = Martonyi János, professeur du droit commercial international ; Partner, Baker & McKenzie ; Ancien ministre des Affaires étrangères
USA = Mathews Jessica T., Président, Carnegie Endowment for International Peace
INT = McCreevy Charlie, Commissaire, Commission européenne
USA = McDonough William J., vice-président et conseiller spécial du président, Merrill Lynch & Co., Inc.
CAN = McKenna Frank, président suppléant, Groupe Financier Banque TD
GBR = McKillop Tom, président, The Royal Bank of Scotland Group FRA = Thierry de Montbrial, président de l’Institut français des relations internationales
ITA = Monti Mario, Président, Universita Commerciale Luigi Bocconi
USA = Mundie Craig J., Chef de la recherche et de la stratégie de la direction, Microsoft Corporation
NOR = Myklebust Egil, Ancien Président du Conseil d’Administration SAS, Norsk Hydro ASA
DEU = Nass Matthias, rédacteur en chef adjoint, Die Zeit
NLD = H.M., la Reine des Pays-Bas
FRA = Christine Ockrent, directrice générale service mondial de télévision française et Présidente du FMI
FIN = Ollila Jorma, président, Royal Dutch Shell plc
SWE = Olofsson Maud, ministre de l’Entreprise et de l’énergie ; Vice-Premier Ministre
NLD = Orange, le Prince de H.R.H.
GBR = Osborne George, Chancelier de l’Échiquier Ombre
TUR = Öztrak Faik, membre du Parlement
ITA = Padoa-Schioppa Tommaso, ancienne ministre des Finances ; Président de Notre Europe
GRC = Papahelas Alexis, Journaliste, Kathimerini
GRC = Papalexopoulos Dimitris, PDG Titan Cement Co. SA
USA = Paulson Henry M., Secrétaire au Trésor
USA = Pearl Frank H., président et chef de la direction, Perseus, LLC
USA = Perle Richard N., Resident Fellow, American Enterprise Institute for Public Policy Research FRA = François Pérol, secrétaire général adjoint en charge des affaires économiques
DEU = Perthes Volker, directeur Stiftung Wissenschaft und Politik
BEL = Philippe, H.R.H. Prince
CAN = Prichard J. Robert S., président et chef de la direction, Torstar Corporation
CAN = Reisman Heather, M. le président et chef de la direction, Indigo Books & Music Inc.
USA = Rice Condoleezza, Secrétaire d’État
PRT = Rio Rui, maire de Porto
USA = Rockefeller David, Ancien Président, Chase Manhattan Bank
ESP = Rodriguez Inciarte Matias, Vice Président exécutif, Grupo Santander
USA = Rose Charlie, Producteur, Rose Communications
DNK = Rose Flemming, Editor, Jyllands Posten
USA = Ross Dennis B., Conseiller et Ziegler émérite, L’Institut de Washington pour la politique au Proche-Orient
USA = Rubin Barnett R., Directeur des Études et Senior Fellow, Centre de coopération internationale, Université de New York
TUR = Sahenk Ferit, président, Dogus Tenir A.S.
USA = Sanford Mark, gouverneur de Caroline du Sud
USA = Schmidt Eric, Président du Comité Exécutif et CEO, Google
AUT = Scholten Rudolf, Membre du Conseil d’administration, Oesterreichische Kontrollbank AG
DNK = Schur Fritz H., Fritz Schur Gruppen
CZE = Schwarzenberg Karel, ministre des Affaires étrangères
USA = Sebelius Kathleen, gouverneur du Kansas
USA = Shultz, George P., Thomas W. et Susan B., Ford Distinguished Fellow, Hoover Institution, université de Stanford
ESP = H.M., la reine d’Espagne
CHE = Spillmann Markus, rédacteur en chef et chef du Directoire, Neue Zürcher Zeitung AG
USA = Summers Lawrence H. Charles W. Eliot, Professeur, Université de Harvard
GBR = Taylor J. Martin, Président, Syngenta International AG
USA = Thiel Peter A., Président, Clarium Capital Management, LLC
NLD = Timmermans Frans, ministre des Affaires européennes
RUS = Trenin Dmitri V., Sous-directeur et associé principal, Centre Carnegie de Moscou
INT = Trichet Jean-Claude, Président de la Banque centrale européenne
USA Vakil Sanam, professeur adjoint de Middle East Studies, L’École Paul H. Nitze des études internationales avancées de l’Université Johns Hopkins FRA = Valls Manuel, membre du Parlement, Premier ministre
GRC = Varvitsiotis Thomas, Co-Fondateur et Président, V + O Communication
CHE = Vasella Daniel, L. président et chef de la direction, Novartis AG
FIN = Väyrynen Raimo, Directeur, l’Institut finlandais des affaires internationales FRA = Védrine Hubert, Hubert Védrine Conseil
NOR = Vollebaek Knut, Haut Commissaire pour les minorités nationales, l’OSCE
SWE = Wallenberg Jacob, Président, Investor AB
USA = Weber J., PDG Vin, Clark & Weinstock
USA = Wolfensohn James D., président Wolfensohn & Company, LLC
USA = Wolfowitz Paul, Visiting Scholar, American Enterprise Institute for Public Policy Research
INT = Zoellick, Robert B. Président, Le Groupe de la Banque mondiale
Rapporteurs :
GBR = Bredow, Vendeline Correspondant aux affaires, The Economist
GBR = Wooldridge, Adrian D. Foreign Correspondant, The Economist
AUT = Autriche
BEL = Belgique
CAN = Canada
CHE = Suisse
CZE = République tchèque
DEU = Allemagne
DNK = Danemark
ESP = Espagne
FIN = Finlande FRA = France
GBR = Grande-Bretagne
GRC = Grèce
HUN = Hongrie
INT = international
IRL = Irlande
ITA = Italie
NOR = Norvège
NLD = Pays-Bas
PRT = Portugal
POL = Pologne
RUS = Russie
SWE = Suède
TUR = Turquie
USA = États-Unis d’Amérique
• Qui parle de “conspiration” ?
• Et pour stigmatiser qui ?
“Il a dit la vérité, il doit être exécuté”
Ces paroles de Guy Béart sont hors du temps, toujours d'actualité.
A écouter et réécouter sans modération.
Si tu entends ricaner lorsque tu dis quelque chose de sensé, c’est probablement que tes propos sont porteurs d’une vérité qui dérange les bien-pensants... Avec toute l’arrogance de l’ignorance, ils te diront avec mépris que tu es “conspirationniste”.
Le mépris est une arme redoutable pour disqualifier un “porteur de vérité” qui dérange. Alors ils utilisent “frauduleusement” le mot conspiration, après en avoir détourné le sens originel (voir la définition officielle du mot ► conspiration)
Le mot “conspiration“ est utilisé indûment pour décrédibiliser la vérité : c’est une contrefaçon linguistique (une de plus), exploitée par les politiques et relayée par les intoxiqués de la télé qui gobent les mensonges et autres sornettes des gangsters au pouvoir.
Ainsi, est taxé de “conspirationniste” tout récit “alternatif” qui contredit de manière significative le récit “officiel” d’un événement.
Par exemple :
Dans son allégorie de la caverne qui remet en cause les certitudes de son temps, Platon serait aujourd’hui cloué au pilori du conspirationnisme.
Lorsqu’il a avancé la thèse héliocentrique, Galilée défiait la lecture “officielle” du monde de son époque. On parlerait aujourd’hui d’une “conspiration” contre la Bible... Or là, en l’occurrence, le pouvoir ecclésiastique de l’époque se trouvait dans le négationnisme, car c’est au IIIᵉ siècle av. J.-C. qu’Ératosthène apportait la preuve que la terre était sphérique, en même temps que celle de l’héliocentrisme de notre système solaire (►lien Wikipédia). Platon, sans le démontrer, affirmait 2 siècles plus tôt déjà que la terre était ronde.
Qui accuse-t-on de “conspirationnisme” ?
Aux yeux des dirigeants politiques, les “conspirationnistes” sont les citoyens qui s’opposent à la toute-puissance de l’État (sic). Mais... le principe de la démocratie n’implique-t-il pas que l’État, c’est nous, les citoyens ? L’État, dans une démocratie, ce n’est pas ceux qui sont supposés nous représenter. Donc, on ne voit pas comment un citoyen pourrait s’opposer à lui-même... En réalité, ledit “conspirationniste” s’oppose aux instances qui le représentent et qui cherchent à imposer “leur récit” des faits, refusant tout contrôle par les citoyens quant aux faits rapportés dans le récit qui en est proposé.
Quand dire la vérité est devenu un crime
Bienvenue dans ce monde ou la vérité est un crime , où le système se défend,
et dans cette réalité ou les lanceurs d'alerte sont importants
Pour faire court, l’accusation de conspirationnisme est une critique facile qui ne coûte rien à celui qui la porte. Une allégation de ceux qui ne veulent pas que tu réfléchisses à ce qui se passe vraiment.
• Dérive démocratique
• Démocratophobie
• Contrefaçon linguistique
• Fraude des mots
Considérer qu’une démocratie est un régime politique où les élus représentent le peuple, c’est permettre aux dictateurs de se faire élire.
Demander au peuple de voter pour élire ses dictateurs, ce n’est pas franchement le signe d’une démocratie.
Mais quand les élus susnommés décident d’imposer au peuple de les élire, il n’y a plus aucun doute sur la nature du régime politique : c’est une dictature qui cherche à se déguiser en démocratie, c’est une imposture démocratique avouée.
Si le régime démocratique ne trouve plus aujourd’hui de définition communément admise, c’est parce que la réalité que sous-tend une démocratie fait très peur à la classe dirigeante, et ce dans tous les régimes politiques sans exception.
Commençons par un petit inventaire des régimes politiques en vigueur à ce jour aux quatre coins de la planète, histoire d’accorder les violons. Sur 193 pays, 136 sont des républiques, 34 des royaumes ou sultanats, 3 des principautés et 9 des unions ou fédérations qui peuvent mélanger plusieurs formes d’États.
Dans les républiques contemporaines, il existe trois principaux régimes politiques, plus un quatrième dont le statut est corrompu par deux siècles de mensonges, enseveli sous une montagne d’hypocrisies. La contrefaçon linguistique est implantée depuis plus de deux siècles, si bien que tout le monde croit aujourd’hui que l’élection des dirigeants politiques constitue « LE » signe absolu et exclusif de la démocratie. Ce qui bien entendu est totalement faux, puisque l’élection permet aux dictateurs d’accéder au pouvoir ; l’histoire l’a sans cesse prouvé, comme il sera montré une fois encore dans la suite de ce billet.
Voyons d’abord quels sont ces quatre régimes politiques :
• Régime présidentiel
• Régime parlementaire
• Régime fédéraliste
• Le quatrième, c’est le régime démocratique, objet de controverses et de contrefaçon en tout genre.
Régime présidentiel :
Régime politique dans lequel il existe une séparation des pouvoirs exécutif et législatif, avec un Parlement qui fait les lois, mais dans lequel le chef de l’exécutif est fort et stable. On parle de présidentialisme lorsque l’équilibre entre les pouvoirs est rompu, et que le régime consiste en l’hégémonie du président et la réduction des pouvoirs du Parlement.
► Lien Wikipédia pour en savoir plus
Régime parlementaire :
À l’inverse, on parle de régime parlementaire, lorsque les pouvoirs exécutifs et législatifs sont séparés, mais exercent une influence mutuelle et équilibrée l’un sur l’autre (le Parlement peut engager la responsabilité politique du gouvernement et, à l’inverse, le gouvernement peut dissoudre le parlement) ; sa déviance est appelée régime d’assemblée, qui confère plus de pouvoir à une assemblée qu’une autre.
► Lien Wikipédia pour en savoir plus
Régime fédéraliste :
Système d’organisation, d’administration et de gouvernement dans lequel l’État est organisé en fédération et partage avec les États fédérés les diverses compétences constitutionnelles : législatives, juridictionnelles et administratives.
► Lien Wikipédia pour en savoir plus
Ces trois premiers régimes politiques se distinguent les uns des autres et s’opposent entre eux, comme le montrent les définitions résumées ci-dessus. Pour plus de détail, suivre les liens vers l’encyclopédie Wikipédia.
Régime démocratique :
C’est le quatrième régime de la liste. La réalité que sous-tend le mot “démocratie” fait très peur à la classe dirigeante de tous les régimes politiques en vigueur sur la planète. D’où les contrefaçons et les impostures de la classe dirigeante pour corrompre le sens de la démocratie et l’empêcher d’advenir. Et ils y ont tellement bien réussi qu’elle ne trouve plus aujourd’hui de définition communément admise.
Stricto sensu, le régime démocratique est celui qui donne au peuple la souveraineté, et le pouvoir de faire les lois. C’est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple. Pour Jean-Jacques Rousseau, « la souveraineté du peuple ne peut pas être représentée, par la même raison qu’elle ne peut être aliénée, car elle consiste essentiellement dans la volonté générale et la volonté générale ne se représente point ».
Un très lourd contentieux linguistique a fait suite à la Révolution française de 1789. La bourgeoisie à l’origine du complot révolutionnaire était foncièrement hostile à la démocratie, redoutant avant tout que le peuple s’empare du pouvoir. À tel point que traiter quelqu’un de démocrate était une insulte. En claire, dès que les bourgeois se sont emparés du pouvoir, ils se sont montrés ostensiblement démocratophobe. C’est ce qui ressort du discours d’Emmanuel Joseph Sieyès prononcé le 7 septembre 1789 :
« Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratique. Le peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. »
De cette citation de Sieyès, on peut déduire une définition de la démocratie, avant les contrefaçons linguistiques qui en ont perverti le sens. Le but était d’amener le peuple à croire que c’est l’élection des dirigeants qui donne au régime politique sa qualité de “démocratie”. Ce qui est une énorme supercherie, bien évidemment. Et la fraude des mots et la contrefaçon linguistique éclatent au grand jour dans la contradiction entre les articles deux et trois de la constitution :
art.2
• La devise de la République est “Liberté, Égalité, Fraternité”.
• Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
art.3
• La souveraineté nationale appartient au peuple [qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum].
Si la souveraineté d’un peuple se définit par son pouvoir de déterminer lui-même son statut politique et d’écrire ses lois, on ne voit pas par quel tour de passe-passe une souveraineté pourrait s’exercer par des représentants, comme l’avait si justement souligné Rousseau.
Quant au référendum, le dernier en date (29 mai 2005) démontre que la souveraineté n’appartient qu’aux prétendus représentants du peuple : à la question « Approuvez- vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une constitution pour l’Europe ? », le « non » a recueilli 54,68 % des suffrages exprimés. Ce référendum n’a en rien empêché les dirigeants politiques français de ratifier ledit traité.
Conclusion :
La France n’a jamais été une démocratie. Pire encore, la cinquième république est une dictature si bien déguisée en démocratie que (presque) tous les Français sont persuadés vivre dans un pays démocratique. C’est oublier – ou ignorer – que pendant la Révolution française, le peuple était considéré par la bourgeoisie comme incapable de se gouverner lui-même.
En est-il autrement aujourd’hui ?
Non, les choses n’ont pas changé. Peut-être même ont-elles empiré. Ce qui fait la différence, c’est le niveau de vie de la classe moyenne qui donne l’illusion que “tout va bien dans le meilleur des mondes”. Les neuf millions de Français vivant sous le seuil de pauvreté sont pourtant une triste réalité, malheureusement “invisible” dans le paysage où chacun lute pour ne pas perdre son emploi.
Ainsi, la démocratophobie des dirigeants politiques passe inaperçue, tandis que les écrits de la révolution rapportent que le mot “démocrate” était à cette époque un terme péjoratif, une insulte pour désigner les extrémistes qui voulaient donner le pouvoir au peuple. Les démocrates n’ont jamais remporté la partie, notre constitution est née sur un système qui n’était pas du tout voulu comme une démocratie, bien au contraire.
La bourgeoisie l’a emporté, et plus tard, lorsque le peuple a tenté à deux reprises une nouvelle insurrection (1830 et 1848), les émeutiers ont été durement réprimés dans des bains de sang. Depuis, la République française oscille entre régime parlementaire et régime présidentiel, sans que le peuple n’ait jamais eu gain de cause.
Aujourd’hui moins encore qu’hier, la classe dirigeante n’est pas du tout disposée à donner la souveraineté au peuple.