(Le billet de Loup Rebel)
Un message qui s'adresse aux électeurs
dont l'intelligence a été trompée,
et qui ne veulent plus cautionner
un système pernicieux en donnant
leur voix à des imposteurs d'un
faux pouvoir déguisé en démocratie.
dont l'intelligence a été trompée,
et qui ne veulent plus cautionner
un système pernicieux en donnant
leur voix à des imposteurs d'un
faux pouvoir déguisé en démocratie.
Au moment de déposer son bulletin dans l'urne, l'électeur est convaincu du pouvoir que lui donne son "droit de vote".
Et au nom de ce droit sacré qu'il considère comme un privilège inestimable, à l'abri des regards dans l'isoloir, il éprouve une jouissance toute particulière à glisser le bulletin portant le nom du candidat en qui il place toute sa confiance dans l'enveloppe, avant de glisser fièrement le tout dans l'urne. Son geste est suivi d'une annonce solennelle à son adresse qui lui procure une deuxième jouissance : "a voté !"
Malheureusement pour l'électeur, la force du pouvoir absolu, c'est de ne jamais montrer son visage. Laisser croire aux populations que leur gouvernement détient la plus haute autorité permet aux pouvoirs de l'ombre d'agir en toute impunité.
Voilà pourquoi les campagnes électorales ne sont qu'une pitoyable mise en scène, car pour se faire élire le candidat fait des promesses qu'il n'est pas en son pouvoir de tenir. Le vainqueur d'une élection sera toujours le plus habile dans l'art du mensonge et de la tromperie.
Le pouvoir absolu du capitalisme ainsi exercé par le biais des gouvernements successifs sur les populations semble moins barbare qu'au moyen âge, mais cette apparence ne le rend pas plus acceptable ni moins infâme que le pouvoir féodal reposant sur l'existence de fiefs et de domination des seigneurs sur ses vassaux. Il faut être naïf pour ne pas le voir.
Et pourtant, les populations ne semblent pas se rendre compte où se situe réellement le pouvoir, et l'électeur demeure dans la croyance qu'à la prochaine élection il aura, lui, le pouvoir de faire changer les choses en donnant sa voix à un nouveau candidat dont les promesses seront tenues, cette foi-ci.
Quand tu protestes contre les lois assassines décrétées par ton gouvernement, tu te cognes contre sa milice armée qui te fait taire à coup de matraque.
C'est celui qui te donne un coup de matraque sur la gueule qui décrète que tu mérites ce coup de matraque.
Et avec le mandat de quelle instance populaire accomplit-il ce geste...? Avec le mandat des électeurs qui ont fait sortir des urnes les représentants du pouvoir. Croyant en toute bonne foi désigner son représentant, l'électeur donne en réalité sa voix à un porte-flingue de la mafia capitaliste.
La duperie du système représentatif est démasquée. Elle sera dénoncée sans relâche, et de façon exponentielle.
Soyons optimistes : selon les premières estimations, la majorité des Français disposerait d'une intelligence suffisamment éclairée pour comprendre ça, et comprendre qu'ils ont été trompés. Le nombre d'abstentionnistes aux prochaines élections le confirmera... ou pas...!
Seuls les plus attardés, et les larbins du pouvoir continueront à le défendre.
Et une nouvelle fois dans son histoire, la France connaitra des moments noirs comme au temps où elle était divisée en trois :
La débilité des parrains du capitalisme, c'est de croire que les salariés qu'ils licencient ne sont pas les "clients" qu'ils cherchent à séduire pour consommer les marchandises désormais produites par les machines et les robots. Mais... n'est-ce pas ce qu'on appelle "scier la branche sur laquelle on est assis"...?
Si les pouvoirs qui nous gouvernent ne sont pas des pouvoirs élus, à quoi sert l'élection...?
Et à quoi sert l'électeur ?
Pourquoi n'enseigne-t-on pas ça dès l'école primaire ?
Pourquoi, à l'école, on nous a appris à croire que les élus représentent le peuple, alors qu'ils représentent les acteurs de l'ombre qui dirigent le monde ?
Et pourquoi l'Éducation enseigne-t-elle des fausses croyances, plutôt que la réalité ?
Et au nom de ce droit sacré qu'il considère comme un privilège inestimable, à l'abri des regards dans l'isoloir, il éprouve une jouissance toute particulière à glisser le bulletin portant le nom du candidat en qui il place toute sa confiance dans l'enveloppe, avant de glisser fièrement le tout dans l'urne. Son geste est suivi d'une annonce solennelle à son adresse qui lui procure une deuxième jouissance : "a voté !"
Malheureusement pour l'électeur, la force du pouvoir absolu, c'est de ne jamais montrer son visage. Laisser croire aux populations que leur gouvernement détient la plus haute autorité permet aux pouvoirs de l'ombre d'agir en toute impunité.
Voilà pourquoi les campagnes électorales ne sont qu'une pitoyable mise en scène, car pour se faire élire le candidat fait des promesses qu'il n'est pas en son pouvoir de tenir. Le vainqueur d'une élection sera toujours le plus habile dans l'art du mensonge et de la tromperie.
Le pouvoir absolu du capitalisme ainsi exercé par le biais des gouvernements successifs sur les populations semble moins barbare qu'au moyen âge, mais cette apparence ne le rend pas plus acceptable ni moins infâme que le pouvoir féodal reposant sur l'existence de fiefs et de domination des seigneurs sur ses vassaux. Il faut être naïf pour ne pas le voir.
Et pourtant, les populations ne semblent pas se rendre compte où se situe réellement le pouvoir, et l'électeur demeure dans la croyance qu'à la prochaine élection il aura, lui, le pouvoir de faire changer les choses en donnant sa voix à un nouveau candidat dont les promesses seront tenues, cette foi-ci.
Quand tu protestes contre les lois assassines décrétées par ton gouvernement, tu te cognes contre sa milice armée qui te fait taire à coup de matraque.
C'est celui qui te donne un coup de matraque sur la gueule qui décrète que tu mérites ce coup de matraque.
Et avec le mandat de quelle instance populaire accomplit-il ce geste...? Avec le mandat des électeurs qui ont fait sortir des urnes les représentants du pouvoir. Croyant en toute bonne foi désigner son représentant, l'électeur donne en réalité sa voix à un porte-flingue de la mafia capitaliste.
La duperie du système représentatif est démasquée. Elle sera dénoncée sans relâche, et de façon exponentielle.
Soyons optimistes : selon les premières estimations, la majorité des Français disposerait d'une intelligence suffisamment éclairée pour comprendre ça, et comprendre qu'ils ont été trompés. Le nombre d'abstentionnistes aux prochaines élections le confirmera... ou pas...!
Seuls les plus attardés, et les larbins du pouvoir continueront à le défendre.
Et une nouvelle fois dans son histoire, la France connaitra des moments noirs comme au temps où elle était divisée en trois :
- Les collabos, qui soutiennent le pouvoir et son système répressif.
- Les résistants, qui s'opposent au régime et à ses milices armées.
- Les lâches, qui se rangent toujours du côté du plus fort.
La débilité des parrains du capitalisme, c'est de croire que les salariés qu'ils licencient ne sont pas les "clients" qu'ils cherchent à séduire pour consommer les marchandises désormais produites par les machines et les robots. Mais... n'est-ce pas ce qu'on appelle "scier la branche sur laquelle on est assis"...?
« L'idéologie capitaliste privilégie l’image à la chose, la copie à l’original, la représentation à la réalité, l’apparence à l’être.
L'organisation sociale qui en découle est une société du spectacle et du fétichisme de la marchandise, où le vrai est un moment du faux. » (Guy Debord)
L'organisation sociale qui en découle est une société du spectacle et du fétichisme de la marchandise, où le vrai est un moment du faux. » (Guy Debord)
Si les pouvoirs qui nous gouvernent ne sont pas des pouvoirs élus, à quoi sert l'élection...?
Et à quoi sert l'électeur ?
Pourquoi n'enseigne-t-on pas ça dès l'école primaire ?
Pourquoi, à l'école, on nous a appris à croire que les élus représentent le peuple, alors qu'ils représentent les acteurs de l'ombre qui dirigent le monde ?
Et pourquoi l'Éducation enseigne-t-elle des fausses croyances, plutôt que la réalité ?
La dictature des faussaires de la démocratie
Avec la complicité de l'Éducation nationale, nous avons tous cru que la France était une démocratie. En creusant un peu le sujet, nous découvrons l'imposture...
Ces escrocs qui se font élire
Les professionnels de la politique, bien que supposés représenter les électeurs
qui les ont portés au pouvoir, ne représentent pas les Français.
qui les ont portés au pouvoir, ne représentent pas les Français.
« Mouseland », le pays des souris
Quand les souris élisent des chats pour les gouverner...
Loup
Loup Rebel |